معاناة الباعة المتجولين بعمالة عين الشق بالدار البيضاء من جراء تأخير فتح السوق الخاص بهم

معاناة الباعة المتجولين بعمالة عين الشق بالدار البيضاء من جراء تأخير فتح السوق الخاص بهم

أملهم كبيرا في أن يتم الإسراع بفتح سوق القرب الذي أنشئ لصالحهم للتخفيف من معاناتهم وتحسين أوضاعهم، لكن للأسف فأملهم خاب بسبب استمرار التماطل في الاستجابة لمطلبهم بهذا الصدد،

 تأثير الأشغال المتواصلة بمدينة الدار البيضاء على الوضع المروري

 تأثير الأشغال المتواصلة بمدينة الدار البيضاء على الوضع المروري

تعيش شوارع مدينة الدار البيضاء، بشكل يومي، على وقع تكدس مروري متواصل نتيجة للأشغال التي تعرفها العديد من المحاور المهمة، ويسجل أن الأمر يعود أحيانا لتأخر إنجاز العديد من الأشغال عن الوقت المحدد لها، وهو ما يساهم في عرقلة كبيرة لحركة السير خصوصا في وقت الذروة.
Read More

” بلا قيود ” مع نبيلة منيب الأمين العام للحزب الاشتراكي الموحد في المغرب

” بلا قيود ” مع نبيلة منيب الأمين العام للحزب الاشتراكي الموحد في المغرب

دعت نبيلة منيب الأمين العام للحزب الاشتراكي الموحد في المغرب، إلى ضرورة ايجاد فصل حقيقي بين سلطات المؤسسة المكية والحكومة والقضاء، والربط بين المسؤولية والمحاسبة من أجل تحقيق ديمقراطية في المغرب حسب رأيها. وقالت إن هذه العناصر لا تنطبق على الحكومتين الحالية والسابقة.

ووصفت الحكومة بأنها خاضعة لتوصيات الخارجية والداخلية ولا تطبق البرنامج الذي وعدت الناخبين به حسب قولها. شاهدوا حلقة ” #بلا_قيود” مع نبيلة منيب الأمين العام للحزب الاشتراكي الموحد في المغرب ، يوم الأحد الساعة الخامسة و النصف مساء بتوقيت غرينيتش على شاشة #بي_بي_سي مع #نور الدين زورقي. يبث برنامج “بلا قيود” يوم الأحد الساعة الخامسة والنصف مساء بتوقيت غرينيتش ويعاد بثه خلال الأسبوع.

Nabila Mounib : “il faut engager des réformes constitutionnelles et politiques avant la fin de 2020”

Dans la continuité des séances d’écoute que tient la Commission Spéciale sur le Modèle de Développement (CSMD) avec les forces vives de la nation, une délégation de la Fédération de la Gauche Démocratique a été reçue, vendredi 10 janvier 2020 au siège de la Commission à Rabat, pour présenter ses recommandations pour l’élaboration du nouveau modèle de développement. 

Invitée du plateau d’Infosoir, Nabila Mounib, secrétaire générale du Parti Socialiste Unifié et porte-parole de la Fédération de la Gauche Démocratique, a indiqué que cette rencontre avait non seulement pour but de présenter le projet de la FGD, “que nous estimons alternatif à l’échec du modèle de développement existant”, mais aussi “d’insister sur des impératifs incontournables sans lesquels on ne peut parler de projet de développement, encore moins de projet nouveau”. 

Au préambule du projet de la FGD, explique Mme Mounib, figurent “les réformes constitutionnelles et politiques qu’il faudrait engager avant la fin de l’année 2020 , et ce pour préparer les conditions d’un “regain de confiance” dans l’action politique. 

La responsable a également passé en revue, dans cette intervention, les différents axes de ce projet dans ses volets économique, social, écologique et technologique. 

Nabila Mounib : Le gouvernement n’écoute pas la voix du peuple

Nabila Mounib : Le gouvernement n’écoute pas la voix du peuple

La Secrétaire générale du Parti Socialiste Unifié (PSU), Nabila Mounib ne pense pas que du bien de la classe politique marocaine, et elle ne s’en cache pas. Des enseignants contractuels aux Hiraks populaires, en passant par le rôle social des intellectuels, elle a livré son ressenti, tout en déplorant que « les gouvernants ne se cultivent pas assez pour pouvoir écouter la voix du peuple et construire un nouveau Maroc ».

Dans un entretien à Hespress FR, Mabila Mounib a ainsi relevé que les mouvements populaires que connaît le pays aujourd’hui n’ont pas été appuyés par les intellectuels, comme à l’époque de l’indépendance.

Et d’enchaîner: « Il y a des faits historiques qui sont irréfutables. Le mouvement de mai 1968 en France a été très largement supporté et appuyé par les intellectuels, qui ont expliqué cette rage populaire, cette révolte, et c’est ce qui a permis de voir des changements substantiels et importants après mai 1968 en France ».

Et, a-t-elle dit, les intellectuels marocains n’ont pas « appuyé » les mouvements de colère et de révolte que vit le Maroc aujourd’hui.

« Depuis l’indépendance, notre Maroc a connu plusieurs mouvements populaires et nous avions eu une élite politique cultivée et politisée. Nous avons connu plusieurs mouvements populaires qui étaient soutenus à une certaine époque comme par exemple pendant le mouvement du 23 mars 1965 quand il y a eu la révolte estudiantine contre la fameuse circulaire du ministère de l’enseignement qui disait que les jeunes âgés de 17 et plus ne pouvaient pas accéder au lycée. Mais cette période était aussi la scène d’une grande récession économique au niveau du Maroc parce que le taux de chômage avait atteint 20% dans les villes et 60% dans les campagnes. Il y avait un taux de pauvreté extrême etc. A ce moment-là; comme partout en occident, ont avait cette élite cultivée qui pouvait appuyer des mouvements », explique Mounib.

Rejet des intellectuels

Poursuivant son éclairage, la secrétaire générale du PSU a rappelé que le Maroc a connu d’autres mouvements comme le « 20 février, le Hirak du Rif, le Hirak de Jerada, on a également eu le Hirak des enseignants, des médecins, des infirmiers et bien d’autres, mais qui n’ont pas pu être appuyés, ni par des intellectuels, qui aujourd’hui sont à la marge de la société pour la plupart d’entre eux, et qui ne sont pas là pour théoriser la période et nous expliquer ce que c’est, ni par les gens qui sont au gouvernement et qui sont incompétents, et c’est le mot le plus simple à choisir ».

Son avis est tranchant: « Ceux qui sont au gouvernement ne gouvernent pas, mais ils sont là. Ils entendent la voix du peuple s’exprimer ici et là, présenter des doléances, des attentes, mais ils se bouchent les oreilles. Ils les mettent en prison, les tabassent à mort ou alors ils les incriminent en disant que ce sont des gens contre leur pays et qui travaillent en intelligence avec des régions extérieures ou bien ils les accusent de séparatisme ».

Et de s’interroger : « Qu’attend le Maroc pour mettre en place une vraie révolution culturelle? Aujourd’hui justement comme il y a une explosion scientifique, technologique, du savoir, de transmission de l’information et d’accès au savoir. Nous en avons besoin , surtout que, non seulement nous sommes dépendants, nous sommes sous-développés, et en même temps sous le joug de courants réactionnaires ».

S’agissant des critiques à l’adresse des intellectuels, les accusant de « jouer le jeu du système » en ne se prononçant que sur certains sujets politiques et sociétaux, Nabila Mounib est catégorique. « Pas du tout, affirme -t-elle. Les intellectuels marocains sont dans le rejet et le dégoût ».

Elle tient à s’expliquer à ce propos. « On ne pas peut dire que les intellectuels jouent le jeu du système. Le système a choisi des technocrates et veut mettre en place ses vrais pions et il a marginalisé les intellectuels et avec eux les vrais politiques. Et c’est la raison pour laquelle nous vivons une crise d’incompétence parce que nous avons aussi des incompétents. Parce que, qui dit technocrates ne veut pas forcément dire compétence. Ce sont des gens qui sont là pour exécuter et nous, nous avons besoin de gens qui réfléchissent qui pensent l’avenir de ce pays, en tenant compte de nos potentialités, des contraintes extérieures et des défis que nous devons relever pour nous en sortir ».

Pour Nabila Mounib, « la place de l’intellectuel est fondamentale, elle est même centrale. C’est la raison pour laquelle, nous autres politiques, nous ne cessons de faire appel à eux pour qu’ils théorisent cette période que nous vivons et pour qu’ils puissent avec nous, nous permettre de tracer la vision prospective cohérente pour notre pays, pour le sortir de la crise plurielle qu’il connait ».

Elle cite dans ce sens, « une corruption endémique, une crise de modèle de développement (…) et une crise sociale très grave parce que nous avons ceux qui sont aux commandes aujourd’hui et qui sont en train de détruire l’école publique, la santé publique, donc tous les ingrédients pour construire une justice sociale».

Les contractuels en question

La question des enseignants contractuels, qui boulent leur 1er mois de grève, interpelle également la numéro 1 du PSU. « Je pense qu’ils ont tout à fait raison. Nous avons besoin d’une vraie réforme de notre école ». Comment ?

« Chaque année nous avons 20.000 à 25000 enseignants et enseignantes qui partent à la retraite. Nous devons les remplacer par de l’excellence et par des gens que nous devons intégrer au niveau la fonction publique parce que déjà il y a un sous-encadrement pédagogique, donc il faut les encadrer et les intégrer dans la fonction publique, choisir l’excellence et les accompagner par des formations continues, si on veut sauver notre école. Par contre, les embaucher avec des contrats à durée limitée, ça c’est vraiment condamner l’école publique à la médiocrité et au misérabilisme », a-t-elle mis en avant.

En prenant connaissance de la réponse du ministère de tutelle, à savoir que les Académies font partie du ministère et ne présentent pas une grande différence avec la fonction publique, compte tenu du projet de régionalisation, à savoir que le pays se dirige vers la régionalisation avancée, Nabila Mounib s’insurge. «Quand on aura mis en place une vraie régionalisation, quand on aura donné aux régions les moyens de se développer, quand on aura donné aux régions la possibilité de jouer pleinement leur rôle dans l’information etc, à ce moment-là on pourrait parler».

Selon elle « l’Etat marocain a signé, depuis pas mal d’années, l’accord général sur le commerce de service et qu’aujourd’hui, ils sont entrain d’appliquer les dictas de la Banque Mondiale et des institutions financières, à savoir avancer vers la liquidation de l’école publique, et nous ne voulons pas de cela parce que nous estimons que la voie d’entrée pour construire le Maroc de demain c’est une école publique de qualité ouverte à tous les Marocains qui puissent garantir l’égalité des chances ».

Pour conclure, la secrétaire générale du PSU a précisé que « l’enseignant doit être respecté et encouragé et sa carrière doit être bien tracée». Mais pas que !

Mounib affirme qu’il faut également « revoir les manuels scolaires, revoir les conditions d’apprentissage, encourager la recherche scientifique, créer des postes budgétaires au niveau de la faculté pour avoir encore des enseignants-chercheurs qui puissent faire de la recherche. Donc nous avons besoin de réformer notre école pour qu’elle puisse être une école de qualité, qui puisse nous ouvrir la voie vers le développement et non pas détruire ce qui reste en condamnant les enseignants à la précarité et à la médiocrité ».

Nabila Mounib s’en prend au gouvernement au sujet des enseignants contractuels

Nabila Mounib s’en prend au gouvernement au sujet des enseignants contractuels

Les enseignants du secteur public, recrutés par contrat, manifestent dans les rues depuis déjà deux ans. Ils rejettent le système d’emploi par contrat adopté par le ministère de l’Education nationale qui, selon eux, «fait la sourde oreille», dans le traitement du dossier des contractants auprès des académies régionales.
Nabila Mounib, Secrétaire générale du Parti socialiste unifié (PSU) dans une interview accordée à Hespress, tacle le gouvernement dans la manière avec laquelle il traite les réclamations «légitimes» de ses jeunes enseignants.

Interrogée sur la répression des manifestations des enseignants contractuels par les forces de l’ordre, la numéro 1 du Parti socialiste unifié (PSU) qualifie ces actes de «malheureux», ajoutant que «ses dernières années, l’Etat a adopté une approche purement sécuritaire réprimant ainsi toutes les formes de manifestations pacifiques, que ce soit dans la région du Rif, Jerrada ou autres régions du Maroc».

«La nation qui ne respecte pas et n’honore pas l’enseignant on ne peut rien attendre d’elle», s’est indignée Mounib. Et d’enchaîner qu‘«on ne peut traiter la demande et les revendications de 55.000 jeunes enseignants d’une telle manière. Nous sommes devant un gouvernement faible qui n’a aucune vision, c’est plutôt un gouvernement d’administration des affaires, puisqu’il exécute à la lettre ce que les institutions financières lui demandent pour les appliquer sur le peuple. Le peuple qui l’a conduit à la tête du gouvernement».

Elle a également fait remarquer que« l’Etat refuse en quelque sorte que le peuple manifeste et n’adhère pas à ses choix qui sont dans la plupart du temps non démocratique».

Un choix unique

Concernant les jeunes enseignants qui ont été «contraints de choisir le système d’emploi par contrat», Mounib se place du côté des enseignants qui, selon elle, «n’avaient pas d’autres choix, ils ont été soumis à un choix unique qui les a poussé à manifester aujourd’hui, dans le but de devenir titulaire au sein de la fonction publique, surtout qu’il y a un manque énorme dans le corps enseignant, à savoir que l’enseignement est une mission noble et importante avant d’être une profession, ajoutant que l’Etat qui se respecte doit prendre soin de ses enseignants au sein de la société, et les former bien comme il le faut».

La secrétaire générale du PSU, n’y va pas de main morte avec le gouvernement. Elle a souligné que «l’Etat ne peut pas abandonner l’enseignement et l’éducation en employant des enseignants sous contrat, si elle dispose réellement de la volonté nécessaire pour réformer ce secteur vital, parce que dans le cas contraire cela affaiblira la qualité de l’enseignement qui est déjà assez faible, alors que ce qui était attendu de ce gouvernement, comme c’était le cas avec les précédents gouvernements, est de réaliser des réformes sérieuses au niveau de l’enseignement qui est l’un des piliers essentiels pour le progrès dans notre système éducatif misérable».

Des militants qui défendent l’école publique

Mounib a également qualifié le mouvement et la colère des enseignants contractuels, à qui on a « imposé un système d’emploi sous contrat« , de «militants qui luttent et défendent l’école publique et la démocratie dans le pays».

Rappelons que Le chef du gouvernement, Saâd Dine El Otmani, a demandé au ministre en charge de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, Said Amzazi, d’ouvrir le dialogue avec les syndicats du secteur en présence des enseignants, fonctionnaires des académies, appelés «enseignants contractuels», et de faire en sorte que «le maximum des revendications soient satisfaites, dans le cadre des promesses faites pour la réforme du statut de ces cadres pédagogiques et le redressement des dysfonctionnements qui l’entachent».

Et de préciser que l’Exécutif est soucieux de «fournir les conditions de stabilité et de sécurité professionnelles à ces enseignants», à l’image de leurs collègues soumis au statut du ministère de l’Education nationale.


la source

ضمان حقوق مغاربة المهجر

ضمان حقوق مغاربة المهجر

التزاماتنا بالدفاععن تمتيع المهاجرين المغاربة بكامل حقوقهم  هنا وهناك

  • الدفاع عن حق المواطنة  الكاملة هنا وهناك للمغاربة المقيمين بالخارج .
  •  توسيع حق المشاركة السياسية للجالية المغربية وأبنائها بما فيها حق التصويت والترشيح.
  •  التشبث بالتمثيلية الحقيقية والديمقراطية للمهاجرين بالخارج .باعادة النظر في مجلس الجالية المغربية بالخارج  باسلوب ديمقراطي يضمن اختيار اعضائه بالانتخاب الحر والنزيه ،
  • مساندة المهاجرين على كافة المستويات  في نضالاتهم ضد العنصرية وكل أشكال التمييز،
  •  تحسين عملية العبور والاستقبال في المغرب وفي القنصليات ، وتسهيل مساطر الاستفادة من الخدمات ،
  • العناية بالمناهج الدراسية الموجهة إلى أبناء المغاربة بالمهجر بما يرسخ الهوية المغربية المنفتحة والمؤمنة بالتعدد والاختلاف والتنوع.؛
  • المعالجة الديمقراطية والاستشرافية للوضعيات التي أصبح يفرضها كون المغرب يتحول من جسر العبور إلى بلد للاستقرار لمهاجرين خاصة من بلدان افريقية .
مجال الفلاحة والوسط القروي

مجال الفلاحة والوسط القروي

التزام بالاستمرار في الدفاع عن العناية بالعالم القروي وحقه في التنمية

إذا كان الوسط القروي المغربي إحدى البؤر الأساسية للفقر والهشاشة والتهميش لأغلبية ساكنيه ، فإن الحزب الاشتراكي الموحد يرى استعجالية إنصاف العالم القروي وسن سياسة فلاحية متقدمة ؛  ومتوازنة و مندمجة وتفعيل مبدأ التمييز الايجابي للعالم القروي في توفير الخدمات والمرافق والتجهيرات الضرورية لتنمية الانسان والمحيط ، من خلال :  

1.وضع خطة  مندمجة ومتوسطة المدى لإنصاف العالم القروي وتحسين استفادته من التعليم والصحة والخدمات الاجتماعية والبنيات التحتية  ودور الشباب والماء والكهرباء؛

2. وضع برامج جهوية للنهوض بالعالم القروي بإشراك الساكنة و مختلف الفاعلين إدارة – جمعيات ذات الاختصاص . ( وتفعيل مبدأ التمييز الايجابي للمناطق القروية  ؛

3.بلورة إستراتيجية فلاحية جديدة تستجيب لمتطلبات النهوض بالانشطة الفلاحية والزراعية  والعالم القروي؛

4. العمـل على تأهيـل العنصـر البشـري بالعالم القروي لتمكينه من مسايرة التطورات التقنية و التنافسية؛

5.دعم الأنشطة المنتجة في العالم القروي  وخاصة في مجالي الفلاحة والصيد البحري؛

6.  العمـل على عصـرنـة و تفعيل دور الغرف الفلاحيـة في تنظيم معقلن للفلاحين الصغــار و المتوسطيـن ؛

7- تنويع الإنتاج الفلاحي من خلال برنامج وطني يهدف إلى إدخال منتوجات ذات قيمة مضافة عالية ؛

8-  تسريع برنامج تكوين الشباب القروي  والمرأة والفتاة القروية في وضع المشاريع وتنفيذها ومتابعتها؛

  • –  مساعدة الفلاحين لتحسين منتوجاتهم  وترويجها ، وتأطير صغار الفلاحين لتقوية تنافسيتهم؛
  • 10  -تطوير و تنظيم سلاسل الإنتاج و إعادة هيكلة مسالك التسويق  للرفع من هامش الربح عند الفلاح؛
  • 11     – فك العزلة عن العالم القروي و ربطه بشبكة الطرق الوطنية و تسريع برامجه التنموية؛
  • 12 – الاهتمام بالبحث العلمي الزراعي باعتباره الدعامة الأساسية لتطوير الفلاحة المغربية ؛
  • 13 – ترشيد استعمال الصندوق الوطني الخاص بدعم العالم القروي؛
  • 14 – تقييم علمي دقيق  لنتائج البرنامج الاخضر الذي اعتمدته الدولة وخضوعه للمساءلة الدقيقة والمحاسبة